Historique et développement du RESAM

Le besoin

Le RESAM est né du constat que les personnes dans le ministère ont des besoins qui sont souvent négligés ou passés sous silence.

 

La raison première du RESAM est de mettre en synergie un réseau de personnes ressources qui peuvent aider ceux qui sont dans le ministère à poursuivre leur service en Europe francophone.

 

Les débuts

Unis par un souci commun, une douzaine de personnes de diverses Églises se retrouvent à Entrepierres, en mai 2001, pour réfléchir aux besoins du corps pastoral sur le plan spirituel, psychologique et relationnel.

 

L'idée d'un réseau d'aide vient l'année suivante, en mai 2002, lorsqu'une quinzaine de personnes, dont plusieurs pasteurs, se réunissent à l'Eau Vive Provence pour partager autour de la question : "Comment les pasteurs souhaitent être accompagnés."

 

Cette rencontre donne naissance au désir de poursuivre la synergie, en voyant la complémentarité des compétences et le désir de travailler en réseau. Mais comment mettre en place un tel réseau et comment le faire fonctionner ? Même si la réponse reste à trouver, l'impulsion est donnée.

 

Le RESAM se structure

L'année suivante, au Château de Saint-Albain, la création du RESAM est lancée, avec un début de réflexion sur la forme que cela peut prendre et la manière dont cela peut fonctionner. Le Secrétaire Général de l'Alliance Évangélique Française apporte son concours en proposant que le RESAM se structure comme commission de l'AEF.

 

C'est en novembre 2003 que la commission voit le jour, et dans ce même mois le projet est présenté à l'Assemblée Générale de la Fédération Romande d'Eglises et Œuvres Evangéliques (FREOE) en Suisse.

 

En septembre 2004, le RESAM est présenté au Conseil National des Evangéliques de France (CNEF). En janvier 2005, grâce à l'appui de son Secrétaire Général, l'Alliance Evangélique Romande apporte son soutien.

 

Depuis sa création, la commission se réunit régulièrement pour faire avancer le projet du RESAM en définissant les critères d'adhésion (le critère principal étant que le service proposé corresponde aux compétences de la personne), une charte de fonctionnement, et les moyens de communication à employer pour faire connaître l'existence du RESAM au corps pastoral, aux unions d'Églises et aux fédérations.